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"Tout a commencé comme un jeu : tous les jours, lors du trajet vers l'atelier, allumer la radio et s'inspirer de la première nouvelle que l'on entend pour en faire une petite peinture. En somme se définir une contrainte qui appelle et accompagne le processus créatif et s'atteler, disciplinée, à la suivre. Mais insidieusement, lentement s'est révélé le visage véritable derrière ce jeu : de jeu il n'y en a point. Le cœur du véhicule médiatique c'est l'émotion négative, négative parce que subie en toute impuissance, constater et que faire, peindre ? "365 jours" se présente sous la forme d'un ensemble de 365 peintures qui forment un panorama pictural sur une année."

David Bouchacourt

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